Mont Facebelle, depuis Mandriou
Introduction
Introduction Cet itinéraire est particulièrement populaire dans la partie inférieure jusqu'à l'alpage de Vascotchaz et la petite église adjacente, alors qu'au-delà, notamment en raison de la raideur du tronçon final, il nécessite un peu d'expérience pour aborder les traversées finales.
Introduction
Description
Depuis le parking, on se dirige vers l'ouest, à travers des prairies enneigées, en direction des pistes de ski bien visibles. Montez la pente douce, en traversant deux fois une route étroite ; ensuite, la pente augmente et, en zigzaguant le long de la pente, en déviant un peu vers la droite, vous atteignez un petit plateau. De là, en prenant comme référence l'alpage de Vascotchaz et la petite église voisine, bien visibles sur la droite, on peut également voir la deuxième partie de l'itinéraire d'ascension : en continuant maintenant à monter légèrement sur la droite orographique de la vallée (la gauche en montant) et en passant quelques petits ruisseaux qui descendent des pentes supérieures, on arrive à l'alpage, que l'on laisse sur la droite. En montant au-dessus avec quelques virages en épingle à cheveux, la pente devenant légèrement plus raide, on reste à peu près au centre de la vallée puis, après quelques traversées à un endroit où la montée diminue en intensité, on se dirige vers une pierre pointue solitaire qui émerge du manteau neigeux. Après l'avoir dépassée, on monte vers la droite (tout droit jusqu'au col de la Vascotchaz et à gauche on aperçoit l'imposante silhouette du Bec de Nannaz), en suivant également les éventuelles traces existantes et, en augmentant progressivement la pente, on s'élève vers le versant final qui se trouve maintenant devant nous. Avant d'atteindre le sommet, il faut toutefois franchir quelques passages un peu raides en contrebas et à travers quelques affleurements rocheux. Après cet effort, la pente diminue de plus en plus et on atteint l'arête finale qui mène au sommet.
Le retour suit le même itinéraire que l'ascension.
On peut aussi atteindre le sommet en montant jusqu'au col de Vascotchaz et, de là, prendre l'arête à droite, mais si elle est glacée ou en cas de neige venteuse avec quelques petites corniches, cela peut créer quelques difficultés. Pour éviter tout doute, il est préférable de monter directement sur la pente qui mène au sommet : c'est certes plus raide, mais on peut au moins faire quelques virages en épingle à cheveux supplémentaires (au final, le dénivelé est toujours le même).
Mise à jour du site web : www.vascotchaz.org/francais.pdf