La Petite Tete de Bella Tsa (ou Bellatsà) est la première élévation de l'arête qui monte au Budden peak, un point de vue sur les glaciers de la haute Valpelline, juste en face du bivouac de la Tete des Roeses.
Description
La Petite Tete de Bella Tsa (ou Bellatsà) est la première élévation de l'arête qui monte au Budden peak, un point de vue sur les glaciers de la haute Valpelline, juste en face du bivouac de la Tete des Roeses.
Depuis le barrage des Places de Moulin, il faut compter environ une heure pour atteindre le refuge Prarayer.
Du refuge, suivre le balisage 11 jusqu'à l'alpage de Bella Tsa.
Juste avant de traverser le ruisseau de Brulè sur deux passerelles en bois, il y a la possibilité de traverser immédiatement le Buthier et de passer sur sa rive gauche.
Cette déviation est un peu plus longue que le chemin normal et présente l'avantage d'être à l'ombre le matin.
Pour ceux qui continuent, il faut traverser le ruisseau de la Brulè et tourner à droite sur un pont pour rejoindre le sentier de la rive gauche.
En continuant, on arrive aux ruines de Gorge, d'où l'on a une vue magnifique sur le lac, puis on entre sur le plateau de l'alpage de Dere le vieille, au bout duquel se trouve une selle d'où l'on aperçoit le refuge d'Aoste.
Pour l'alpage de Bella Tsa, il faut chercher les panneaux jaunes et les cairns sur la droite qui mènent au sentier qui monte dans la pente et qui, avec une traversée à gauche (nord), mène aux ruines de l'alpage de Bella Tsa.
Il faut maintenant chercher les panneaux jaunes de l'itinéraire menant au bivouac de la Tête des Roeses, qui se trouvent à gauche au nord.
Suivre le balisage et les cairns et franchir une langue herbeuse raide entre deux pentes détritiques et un petit ressaut que l'on peut contourner par la droite.
On franchit un petit rocher et on arrive au pied de la crête qui descend du Budden peak, juste avant un deuxième petit ressaut passé par les panneaux jaunes.
On pourrait continuer à suivre les panneaux jusqu'à la crête, mais il vaut mieux les abandonner à droite, en longeant la crête sur une centaine de mètres jusqu'à trouver une échancrure par laquelle on monte sur la large crête détritique herbeuse surplombée par les rochers sommitaux.
Des rochers qui se contournent par la gauche pour revenir dans le grand espace final à droite vers le cairn du sommet.
Il est bon de laisser un cairn, dès que l'on atteint la crête, pour mieux identifier le point de descente.